Nous avions déjà demandé si le poid des bus était compatible avec la structure du pont, mais, comme d'habitude, nous n'en avons reçu aucune réponse officielle.
Sans reconnaître que le secteur à besoin d'aménagement et de sécurisation à tous les niveaux afin de digérer le dévoiement du 318 qui nous a été imposé de force, la mairie a demandé une subvention au Conseil régional pour la réparation du pont.
Logiquement, notre administrateur aurait dû réaliser ces aménagements et préparatifs en amont tout en prévoyant, dès le début, le déploiement des bus hybrides, sans oublier de consulter et d'en informer les riverains, bien évidemment. Hélas, la mairie nous a prouvé à maintes reprises que le dialogue et la logique démocratique en général ne sont absolument pas compatibles avec la façon de faire plus que discutable de M. Lafon.
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RépondreSupprimerTant qu'il n'y aura pas de mort et que sa responsabilité pénale ne sera pas engagée, ce maire restera dans le DENI !
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