Ainsi, la coulée verte qui relie la mairie au bois sera transformée en espace artificiel et stérile dédié à des événements sporadiques.
Seulement voilà, les habitants du cours Marigny et autres Vincennois demeurent ici à plein temps, ils admirent les arbres centenaires et les fleurs des jardins au quotidien. Qui sait, ils n'ont peut-être pas envie de marcher sur une place pétrifiée, dévitalisée, froide...
C'est vraiment dommage que la verdure soit sacrifiée sur l'autel des ambitions personnelles et la démesure d'un seul homme, alors que la majorité de ses collaborateurs ne partagent pas forcement ses goûts et se rendent très bien compte que les dégâts causés par les décisions hasardeuses sur leur avenir politique seront au moins aussi importants que les ravages sur les espaces verts du cours Marigny.
"Après moi le déluge", dit-il en s'en allant au Sénat.
La gestion de NOTRE ville et non pas de SA ville, les privilèges octroyés à certains au détriment d'autres, la défiguration de Vincennes et ce mauvais goût si peu chaleureux, les chantiers et travaux sans cesse renouvelés, cette addiction à l'absolutisme n'engendreront que de la colère...Le maire feint de ne pas l'entendre gronder à l'Ouest, au Centre via AUSSI les commerçants, sur le Cours Marigny dont les riverains ont en grande majorité voté pour lui, lesquels réclament avec virulence des comptes et des choix précis, à proximité de ce quartier oublié Bérault, Avenue de la République, rue Victor Basch, lequel fut le fondateur de la Ligue française pour la défense des droits de l'homme et du citoyen....Le Sénat n'est pas si certain!
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